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Création & Innovation 2021

26 avril 2021

Saint-Louis. Un jardin partagé s'installe dans une maison de retraite à Versailles

 

L'Ehpad Le Val Bièvre, dans le quartier Saint-Louis, à Versailles a aménagé un jardin partagé dans son parc, en association avec Les Colibris.

C’est la nouvelle animation qui passionne les résidents de l’Ehpad Le Val Bièvre : depuis fin septembre, un jardin partagé a pris place dans le parc de l’établissement, qui est géré par l’association Chemins d’espérance. Ce sont les jardiniers de l’association Les Colibris qui cultivent ce bout de terre d’une centaine de mètres carrés. Ils sont huit permanents, rejoints par des jardiniers occasionnels.

Créer du lien

Ce jardin partagé, nommé pour le moment jardin Saint-Louis, est né de la volonté de François Philippon, directeur de l’établissement depuis juillet 2017. 

« Nous avons le plus petit niveau de dépendance d’Ile-de-France. Nos résidents ont donc la possibilité d’avoir une vie sociale, de participer à des animations, expose-t-il. À mon arrivée, j’ai réfléchi à ce que l’établissement pouvait apporter de plus aux famillles. J’ai pensé à un jardin. »

Faute de familles volontaires pour impulser le projet, François Philippon s’est tourné vers l’association Les Colibris, une référence concernant les jardins partagés dans les Yvelines. C’est Renaud Anzieu, porte-parole de l’association, qui a proposé de créer un jardin tourné vers l’extérieur.

« Nous ne sommes pas un hôpital. Les résidents doivent se sentir chez eux et un jardin peut devenir une vraie attache. L’ouvrir sur l’extérieur permet de ne pas rester isolés », explique le directeur.

Après un mois, l’expérience est déjà concluante pour l’établissement. Les résidents sont très curieux, observent les jardiniers, certains veulent même s’impliquer. C’est le cas de sœur Anne-Marie.

« À mon arrivée ici, il y a huit ans, j’avais voulu faire un atelier jardinage mais c’était compliqué. Alors je plantais des fleurs qu’on me donnait à la chapelle par exemple ». Elle s’intéresse maintenant de très près à l’avancée des plantations.

« Les résidents se sont appropriés le jardin, chacun à sa manière. S’ils peuvent discuter avec les jardiniers ou juste recevoir un sourire, le pari est déjà gagné », sourit François Philippon. « Ça amène de la vie ici », renchérit Catherine Breton qui s’occupe de l’accueil à l’Ehpad.

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26 avril 2021

Confinement : les jardins familiaux ouvrent en ordre dispersé

 

Malgré le confinement et le Covid-19, des préfets et des maires ont autorisé les jardiniers amateurs à continuer à s’occuper des lopins qu’ils cultivent en dehors de leur domicile. Mais la situation est très disparate et certains de ces espaces collectifs restent fermés. 

Confinement : les jardins familiaux ouvrent en ordre dispersé

L’arrêté municipal est arrivé comme un rayon de soleil pour les manieurs avertis de binette. Depuis le 4 avril, et malgré le confinement dû au COVID-19 . les titulaires d’une parcelle au sein des jardins familiaux de Marcq-en-Barœul ont pu reprendre leurs activités pour « cueillir leurs premières récoltes ou planter leurs semis ». « On attendait cela depuis un bon moment », se réjouit Marc Wyndaele, président de l’association des jardiniers de la commune nordiste.

 

 

 

26 avril 2021

Les jardins partagés parisiens

Le jardin partagé est un espace vert cultivé et animé par les habitants. C'est un lieu de vie ouvert sur le quartier qui favorise les rencontres entre générations et entre cultures. Géré par des riverains regroupés en association, il facilite les relations entre les différents lieux de vie de l'arrondissement : écoles, maisons de retraite, hôpitaux…

Les jardins partagés trouvent généralement leur place sur des parcelles de la Ville de Paris mais ils peuvent aussi être aménagés sur d'autres terrains (bailleurs sociaux, Réseau ferré de France, etc.). Les jardins partagés trouvent généralement leur place sur des parcelles de la Ville de Paris mais ils peuvent aussi être aménagés sur d'autres terrains (bailleurs sociaux, Réseau ferré de France, etc.).

Fête des jardins 2014 au jardin partagé l'Univert (18e) 

Le jardin partagé est créé à l'initiative d'habitants qui désirent jardiner ensemble dans un lieu convivial. Pour aider les porteurs de projet, le Centre ressource pour les jardiniers urbains anime des rencontres et des ateliers d'information.

les jardins partagés trouvent généralement leur place sur des parcelles de la Ville de Paris mais ils peuvent aussi être aménagés sur d'autres terrains (bailleurs sociaux, Réseau ferré de France, etc.).

L'occupation d'une parcelle de la Ville respecte les termes d'une convention co-signée par l'association et la Ville de Paris. Dans ce cas, l’association adhère automatiquement à la Charte Main verte qui rappelle les règles et les bons usages des jardins partagés parisiens.

De plus, tous les jardins partagés parisiens installés sur d'autres terrains qui désirent rejoindre le programme Main verte peuvent adhérer à la charte Main verte.

Les habitants gestionnaires du jardin partagé s'engagent notamment à ouvrir le jardin au public et à l'entretenir suivant des méthodes respectueuses de l'environnement.

26 avril 2021

Un EHPAD adhérent du Cèdre lance un jardin partagé

Le pari de l’ouverture de l’institution médico-sociale

 

Le jardin partagé est construit et cultivé collectivement par une dizaine de membres des Colibris de Versailles. Sur un espace de 100m² ils appliquent les méthodes de l’agroécologie et s’inspirent de la permaculture pour produire fruits et légumes qu’ils se partageront la saison venue.

 

Sans exigence préalable, nous avons accueilli ce jardin dans notre parc en faisant le pari que simplement par leur présence, les jardiniers dynamiseraient la vie sociale de l’établissement.

 

https://www.lecedreconseils.fr/wp-content/uploads/2018/01/2.jpg

Un outil créateur de lien social

A peine trois mois après son inauguration, le pari est déjà gagnant. La naissance du vivant, la relation entre l’Homme et la nature, le lien entre la production et la consommation, la sobriété… il existe peu de sujets qui soient aussi universels et intergénérationnels. L’activité devient secondaire et ce sont surtout ces idées qui favorisent les relations entre tous les acteurs de l’établissement.

Les jardiniers, fascinés par les rencontres inattendues qu’ils ont faites dans l’EHPAD sont devenus 13 bénévoles actifs. En construisant eux-mêmes un compost, un récupérateur d’eau, des jardinières adaptées pour personnes âgées, un nid à hiboux, ils ont réuni autour d’eux un grand nombre de résidents et religieuses. Certains s’y engagent de manière très active en étant partie prenante des constructions, d’autres de manière plus passive en étant simplement spectateurs.

Un jardin qui met en lumière nos valeurs associatives

Le PARTAGE de nos outils, L'ACCUEIL de nos voisins, L’ESPÉRANCE de voir en eux de nouveaux alliés, pour favoriser LA SOLIDARITÉ entre les individus et les générations, c’est la recette qui a donné naissance à ce projet. Cette recette qui n’est autre que l’expression même des valeurs de l’association « Chemins d’Espérance », gestionnaire de l’EHPAD. Nous la déclinons dans d’autres domaines : à la culture en mettant à disposition notre salle d’activités ; à l’art, en mettant à disposition les murs de nos couloirs à des étudiants en art graphique et plus largement en ouvrant nos portes aux initiatives et à la créativité locale.

 

 

 

 

 

26 avril 2021

Jardin partagé Julian Cox

Ce jardin partagé se situé dans une ancienne gare Franche.

Le jardin partagé se situe en Marseille dans le 15 éme arrondissement dans les quartier Nord

Il y a 20 ans Vlad Schnoko a créé une maison. C’est un lieu qui héberge des artistes et des bénévoles d’Europe.

Puis ils ont transformé l’ancienne usine à tonneaux à métal en théâtre et ils ont réaménagés le site avec un espace public, aire de jeux, des chemins.

Les jardins familiaux, ou jardins ouvriers, apparus à la fin du XIXᵉ siècle, sont des parcelles de terrain mises à la disposition des habitants par les municipalités. Un ensemble d’ingrédients concourent à l’émergence de cette cohésion sociale. S’occuper d’un jardin est une activité non contraignante qui permet aux personnes fragiles et isolées de se confronter aux autres de manière douce. Elle passe également par un contact à la terre et aboutit à une production gratifiante. Elle rend en outre possible la réinsertion professionnelle dans le cadre de l’économie sociale et solidaire, mais également la création d’emplois, d’animateurs des jardins, par exemple.

Les jardins partagés sont un lieu où l’on partage et ou on cultive des légumes et fruits

Ce projet a un côté agroécologique car il utilise un composte pour mettre tous les déchets verts. Il répond à un autre enjeu majeur qui est celui de la réduction des déchets. Les jardins partagés offrent une meilleur regard sur la ville.

Les raisons qui posent problème sont que les gens non pas forcément le temps pour cultiver et entretenir les jardins partagés, le climat. Le confinement est une solution pour s’occuper de son jardin partagé. Les gens ne connaissent pas forcément les jardins partagés qui sont dans leur ville

Pour mieux faire connaitre les jardins partagés certains organisent des chantiers participatifs et ditribue des flyers au personnes .

Les jardins partagés redynamisent les quartiers et les territoires.

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21 avril 2021

Jardins solidaires - Agroécologie et Permaculture

Parce que le jardin est un formidable outil thérapeutique et de lien social, Terre & Humanisme met en place des jardins potagers collectifs et agroécologiques à destination de personnes en situation de précarité (résidents de foyers d’accueil, demandeurs d’asile, personnes en réinsertion) en partenariat avec plus acteurs sociaux. Les résidents s’y rendent lors d’ateliers réguliers et y travaillent la terre, accompagnés par un animateur formé par Terre & Humanisme. Ils apprennent à gérer le potager, à s’organiser, et à travailler en équipe. Ils témoignent que prendre soin du jardin les aide à s’ouvrir vers l’extérieur. C’est l’occasion de se retrouver, de passer du bon temps et de nouer des liens, sortir de l’isolement, mais aussi de repartir avec quelques récoltes et de pouvoir préparer des repas ensemble ! Un jardin partagé avec les habitants de la Villa Savine, maison-relais à Montpellier, en lien avec l’association Habitat & Humanisme. Le jardin bénéficie à 20 résidents et 2 encadrants. Un jardin partagé avec les demandeurs d’asile accueillis au sein de deux CADA (Centres d’Accueil pour Demandeurs d’Asile) à Montpellier, en lien avec le collectif La Boussole. Un jardin au centre de Montpellier, qui bénéficiera à toutes les personnes en précarité de la Ville, en lien avec La Boussole, et la métropole de Montpellier. L’essaimage du projet Jardins solidaires dans toute la France, avec le réseau Habitat & Humanisme, pour mettre en place 14 autres jardins « qui font du bien »

 

 

16 avril 2021

Les jardins partagé de association d'habitant de Schilighelin

Il existe deux jardins partagés à Schiltigheim, gérés par des associations d’habitants : celui de l’Association « Côté Rue, Côté Voisins » situé entre le Parc des Oiseaux et l’allée du Souvenir, et celui de l’Association des Habitants du Quartier Centre de Schiltigheim (AHQCS) situé Parc du Château.

La gestion collective du jardin se fait dans un esprit de partage, de respect et de convivialité, en favorisant les rencontres, l’apprentissage et l’expérimentation de méthodes de cultures respectueuses de l’environnement (techniques de Bois Raméal Fragmenté (BRF), de paillage, de compost, de plantations d’engrais verts…).

Le jardin est composé d’une partie cultivée par les adultes, d’une partie cultivée par les enfants, d’un verger, d’une cabane à outils, d’un lieu réservé au compost, de récupérateurs d’eau de pluie…

L’usage de pesticides et d’engrais y est prohibé.

16 avril 2021

Confinement : peut-on se rendre dans son jardin familial ?

Les jardiniers profitent du confinement pour travailler la terre et le potager, tous ne disposent pas de leur jardin attenant à leur domicile.

Sur le site du ministère de l’Intérieur, on peut lire dans la rubrique consacrée aux questions et réponses liées au covid-19 « dans le cas où votre jardin n’est pas attenant à votre domicile, et que vous devez sortir dans l’espace public pour vous y rendre, vous devez vous munir de votre attestation de déplacement dérogatoire. Vous pouvez cocher la case « déplacements pour effectuer des achats de première nécessité », si vous récoltez des fruits et légumes dans votre jardin. Vous pouvez cocher la case “déplacements brefs”, si c’est pour vous rendre dans un jardin d’agrément. ». Dès lors, si vous allez récolter des vivres (tomates, radis, salades), ils sont considérés comme des aliments de première nécessité.

 

Sur le site du ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation il est indiqué que « si l’enjeu de ce déplacement est la protection animale, notamment en cas de manque de nourriture, il peut être organisé avec les documents réglementaires ».

Enfin, si votre jardin n’est pas attenant à votre logement mais que vous souhaitez vous y rendre pour prendre l’air, cela correspond à la case de l’attestation de sortie « Déplacements brefs, dans la limite d’une heure quotidienne et dans un rayon maximal d’un kilomètre autour du domicile, liés soit à l’activité physique individuelle des personnes, à l’exclusion de toute pratique sportive collective et de toute proximité avec d’autres personnes, soit à la promenade avec les seules personnes regroupées dans un même domicile, soit aux besoins des animaux de compagnie ». A priori, si votre terrain se trouve à moins d’un kilomètre de chez vous, vous pouvez vous y rendre sans trop de difficulté, mais toujours dans la limite d’une heure par jour, en respectant les consignes sanitaires.

16 avril 2021

Edito Rémi

Les Jardins Partagé est née au sein d’un réseau constitué en XIX -ème avec l’appui de la fondation de France.  Les fondateurs venaient des horizons très différents : éducation à l’environnement, insertion, recherche en sociologie, militants écologistes, acteurs associatifs des jardins familiaux.

Le terme jardin Partagé a évolué pendant les quinze dernières années pour designer plus particulièrement des jardins de proximité. Installé le plus souvent dans des anciennes friches est un espace der jardinage aux adhèrent de l’association et aussi un lieu de promenade au public. Les parcelles sont individuelles, parfois pas plus grandes que 2 m2, ou collectives et cultivées en commun par les membres de l'association.

Les jardins partagés sont aujourd’hui presque une philosophie qui permet de tisser des liens sociaux, s'approprier un cadre de vie, favoriser des échanges et la biodiversité. Pendant le confinement les jardins partagés ont été peu entretenue car il y a des personnes qui n’habite pas en comptait.

15 avril 2021

Reportage sur le jardin Partagé

 

Ce reportage rencontre le point de vue des personnes.

Patricia : " c'est un petit paradis déjà qui a été débuté par les personnes une dizaine d'année qui ont fait un travail extraordinaire, c'est un lieu de culture c'est un lieu de rencontre où tout le monde est très prévenant les uns envers les autres.

Arnaud : «  le jardin partagé c’est un jardin d’école pour moi on cultive des choses naturellement on essaye de revenir vers la nature cela est très important ».

Jean Pierre :" que du bonheur de les rencontrer tous et travailler ensemble "

Jaqueline : " tout me plaît, le fait d'être avec les copines puis je suis bien au jardin partagé et c'est tout."

Regis : " déjà de revoir un petit peu mais les collègues entre les guillemets là les jardiniers puis c'est toujours plaisant de venir au jardin et puis ils font vérifier aussi la vie des abeilles. J’étais venu parce que j'avais du matériel qui venait de mon ancien jardin puis j'ai bien aimé endroit et j'ai participé au jardin. Il y a une évolution du terrain. Et il ‘y a une bonne ambiance."

Maria : " le jardin partagé c’est plaisir de venir de passer un bon moment tous ensemble et un plaisir de se retrouver tous en ensemble.".

Danny : " Jardin partagé c'est d'abord l'amitié et la solidarité avec les personnes qu'ils travaillent ici et j'ai été amour de terre."

Jocelyne : " Plaisir de découvrir des gens que je ne connaissais pas et que je n'aurai jamais rencontré, plaisir d'air au grand air aussi comme je suis en appartement de faire un petit peu des mouvements qui fait qu'on est un petit peu moins raide aussi et d'apprendre des ta des choses sur les fleurs, légumes et puis partager des bons moments que ce soit des barbecues ou des rigolades et des discussions avec les autres jardiniers. Cela va faire 9 ans que je viens au jardin partagé, je suis venu un an après ma retraite pour rencontrer du monde et faire quelque chose qu'il m'intéresse. Je suis allé voir le jardin partagé et j'ai vu en travers les grille que ce n'est pas un jardin comme les autres, on voyait bien qui avait des choses qui se passaient que c'était vivant et tout le monde fais quelque chose."

Jean - Claude : " c'est un endroit où on retrouve tous, on sait tous ce qui à faire et on s'organise en fonction donc on sait qu'il y a une période de nettoyage, une d'autres périodes de semi après les plantations et pour finir ce sont les récoltes. Je suis venu à m'intéresse à ce jardin grâce à une personne qui travaille à la mairie qui l'a donc informé sur ce projet et j'étais toute suite intéressée et j'y suis depuis le début. Ce qui m'a marquée est la faite que l'on peut recevoir du public.

René : " c'est le résultat de tout monde c'est l'effort commun"

Mariam :" C'est la sympathie des gens et les métiers."

Arnaud : le jardin partagé me fait sortir d'une ville et c'a c'est capital pour moi."

 

 

 

 

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